Depuis 1975, l’uttam soutient des travailleuses et des travailleurs accidentés ou malades non-syndiqués dans la défense et l’exercice de leurs droits. Avec la fermeture de la Fondation pour l’aide aux travailleuses et aux travailleurs accidentés (FATA) à l’automne 2017, l’uttam est de plus en plus sollicitée par des victimes de lésions professionnelles dans le besoin.
En plus de ce service individuel, l’uttam lutte aussi pour l’amélioration des droits de toutes les victimes de lésions professionnelles en revendiquant un régime d’indemnisation plus juste. Si l’uttam est en mesure de poursuivre son action après toutes ces années, c’est en grande partie grâce à la générosité des personnes et des organisations qui la soutiennent.
Depuis quelques années, d’importantes discussions ont lieu à la CNÉSST, au ministère du Travail et au Comité consultatif du travail et de la maind’oeuvre sur un projet de réforme des régimes de prévention et de réparation des lésions professionnelles. Il est notamment question d’abolir la liste des maladies du travail qu’on retrouve à la loi pour la remplacer par un éventuel règlement devant être adopté par la CNÉSST ainsi que de restreindre l’accès au retrait préventif pour les travailleuses enceintes ou qui allaitent.
Si le nouveau gouvernement décide de procéder à une telle réforme, l’uttam devra intervenir pour défendre énergiquement les droits des travailleuses et des travailleurs, notamment ceux des non-syndiqués. Pour être en mesure de le faire, nous avons toutefois besoin de votre solidarité et
de votre générosité. Encore une fois cette année, nous faisons donc appel à vous et sollicitons un don pour soutenir notre action…