Les scandales de la CAQ sont comme l’univers: à l’infini et en perpétuelle expansion.
Le gouvernement a octroyé des prêts à des entreprises se basant sur des critères subjectifs, partiaux, pour des projets hasardeux avec des objectifs occultes.
Vous trouvez ça révoltant? Ben ce n’est pas tout!
Dans sa grande clémence, le gouvernement se donne le droit de “pardonner” des prêts à des entreprises qui ont disparus dans le trou noir des finances de la CAQ.
Pendant ce temps au CHUM, et dans le réseau de la santé, les coupures ont agi comme une tronçonneuse, sans égards et considérations envers les travailleur-euse-s et les soins aux patients.
Cet argent est parti en orbite de la mauvaise gestion, quand il aurait pu être investi dans des choses terre à terre, comme: Éliminer la surcharge de travail, la précarité, créer des postes là où sont les besoins criants, et mieux rémunérer le personnel, que le gouvernement qualifiait d’ange gardien il n’y a pas si longtemps.
Quand on doit de l’argent au gouvernement, il ne pardonne pas et il n’est vraiment pas indulgent comme avec ses amis de la big business.
Faire des “prêts pardonnables” à des compagnies qui n’ont pas à rendre des comptes et qui s’en mettent plein les poches, pendant que des personnes souffrent, ou attendent sur une liste d’attente, et que certains travailleur-euse-s vont dans des banques alimentaires, ou ne savent pas s’ils vont être capables de boucler la fin du mois et être appelés pour travailler, ça c’est impardonnable.
